Que ce soit les données d'ADCP de coque ou les autres données de physique et chimie marines, le SISMER archive à la fois les données brutes (reçues) et les données finales (formatées et contrôlées) sur des disques réseau qui sont sauvegardés tous les jours.
Les données d’ADCP de coque
Le flux d'arrivée de ce type de données est double.
Données des navires Ifremer
Ces données font partie du lot de données récupérées par l’opérateur de la banque de Géophysique. Elles sont donc automatiquement archivées sur Object Archive (OANET). Elles sont également copiées sur des espaces disque dédiés, hiérarchisés en fonction de l'état d'avancement de l'exploitation des données (répertoires de données brutes, en cours de traitement, finalisées).
Données des navires du SHOM
Quand les données d’ADCP de coque ont été mesurées par des navires du SHOM, elles sont déposées par le SHOM sur un ftp, puis copiées par le SISMER sur des disques dédiés aux données d’ADCP. Elles suivent ensuite le même protocole que les données d’ADCP de l’Ifremer puisqu’elles sont traitées et sauvées dans un état final, en vue de demandes de données.
Ces données sont aussi sauvegardées au SHOM.
Les données de CTD, de bouteilles, de courantométrie, et les chaînes de thermistances
Quand les données sont envoyées au SISMER par les fournisseurs de données, elles sont archivées dans des répertoires dédiés, hiérarchisés, en fonction de la campagne à la mer à laquelle elles sont rattachées et selon un protocole établi.
Quand elles sont finalisées, elles sont archivées sur d’autres répertoires dédiés, en vue de répondre à des demandes d'utilisateurs.