AQUARIUS

échelle

Échelle du projet : Européenne 

dates

Dates : 2024 - 2028 
 

rôle

Notre rôle : Gérer le bilan des données in situ existantes et analyses de celles manquantes,  les nouvelles données in situ qui seront acquises pendant le projet. 
 

financeurs

Financeurs : projet Horizon Europe, DG-RTD de la Commission Européenne 
 

partenaires

Partenaires :

  • coordinateur Marine Institute (Irlande)
  • 41 partenaires européens 

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Lien vers le site : n'existe pas encore 

description

Description : AQUARIUS vise à fournir une suite très complète d'infrastructures de recherche (IR) intégrées et appropriées pour relever le défi de la préservation à long terme des océans, mers et écosystèmes d'eau douce. Pour la première fois, diverses IR seront mutualisées pour faciliter le travail des chercheurs et des principaux intervenants focalisés sur les défis et les opportunités portés par les systèmes marins et d'eau douce. 57 services d'IR seront agrégés et mis à disposition de la communauté : navires de recherche, plateformes mobiles d'observation, aéronefs, drones, satellites, capteurs, observatoires fixes, sites d'essai, installations expérimentales, et infrastructures de données sophistiquées.  Le projet soutiendra ainsi la phase de développement de la mission de l'UE visant à restaurer nos océans et nos eaux d'ici 2030, ainsi que le partenariat européen pour une économie bleue durable (SBEP), le pacte vert européen, et les initiatives internationales sur le climat. Il a aussi pour ambition de constituer un élément essentiel dans la construction du Jumeau numérique européen de l'océan, et de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques. Les besoins de la communauté scientifique seront satisfaits grâce à un système éprouvé et transparent d'appels à projets d'accès transnationaux, mis en œuvre via un portail d'accès centralisé et intuitif.  A l'Ifremer, le projet AQUARIUS impliquera la Flotte Océanographique Française pour la fourniture d'accès à 2 navires océanographiques (Thalassa et L'Europe) et au robot sous-marin HROV Ariane, ainsi que le Département IRSI pour la gestion des données in situ.

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